mardi 23 août 2011
L'amanite des Césars
Avez-vous déjà espéré trouver un objet rare, d'une infinie beauté ou recherché par les plus grands spécialistes ? Pour certains, cette quête peut prendre des années. Quand vous l'avez enfin entre vos mains, vous êtes presque transcendé par cette rencontre. C'est ce qu'il m'est arrivé il y a quelques jours en voyant pour la première fois une amanite des Césars. Les amateurs de brocante, les chasseurs d'images insolites, les passionnés d'orchidées sauvages ou les collectionneurs de timbres doivent probablement comprendre ce sentiment... Pour les mycophiles, c'est LE champignon suprême, celui qu'on l'on rêve de croiser un jour au détour d'un chemin sylvestre, celui que l'on ne connaît que dans les livres (ou presque), celui dont on aimerait se targuer de l'avoir cueilli un jour, celui que les grands chefs gastronomiques cuisinent, quand il daigne se manifester, bref : l'amanite des Césars est le Graal des passionnés de champignons. Il y a quelques années de cela, je n'avais pas la moindre idée de son existence, je ne savais même pas reconnaître un cèpe ! Mon intérêt pour la cuisine sauvage devenant grandissant, j'ai planché au fil du temps sur la question, acheté des livres, arpenté les sous-bois, suivi des formations et sans que j'y prenne garde, je suis tombée amoureuse des champignons. Dans les ouvrages mycologiques, je m'arrêtais à chaque fois sur la page de l'amanite des Césars en soupirant et me disant : "Jamais je ne pourrais la trouver !". Et puis, contre toute attente, la rencontre a eu lieu, dans ma forêt d'Allier...
Jeudi 11 août, 19 heures.
Mes amis et moi nous baladons dans la forêt familiale, paniers à la main, en quête de cèpes et autres bons comestibles. La chaleur de la journée retombe lentement, il fait lourd sous les chênes centenaires... Nous marchons prudemment, le regard balayant mécaniquement le sol. Un cèpe bronzé par ici, un bolet à pied rouge par là, la récolte est intéressante mais peu abondante. Qu'importe, la promenade reste agréable. Une bonne odeur d'humus et de champignons effleure nos narines et aiguise notre estomac. Soudainement, je marque un temps d'arrêt. Fébrile, je m'approche d'un groupe de champignons dont la couleur chatoyante m'interpelle d'emblée.
En une fraction de secondes, mon cerveau scanne de part et d'autre le plus beau spécimen, "chapeau orange vif, luisant et bombé, anneau, lames et pied jaune pâle, épaisse volve blanche". Je pousse un cri suffisamment puissant pour voir mes amis se précipiter sur moi, regard circonspect, genre t'es-cinglée-ou-quoi ?! Je leur parle alors avec ferveur de l'amanite des Césars, de la fameuse oronge que tant de personnes recherchent, de l'amanite que l'on peut manger oui, même crue ! Ils acquiescent, amusés, en espérant que la récompense dans l'assiette sera à la hauteur de mon exposé. Je ramasse les trois spécimens en faisant plein de chichis, un vrai cérémonial : prélèvement en dévissant délicatement la volve, nettoyage au pinceau, placement dans le panier. En dégageant les feuilles tout autour, je découvre de jeunes oronges, au stade d'oeuf, prêtes à éclore... Je repars au gîte toute guillerette, "demain, il y en aura d'autres !"
Vendredi 12 août, 20 heures
L'organisation de la journée ne m'a permis de revenir sur le lieu de la prodigieuse découverte avant cette heure-ci. Pendant que tout le monde prend l'apéro, j'y retourne pleine d'espoirs. Quelques centaines de mètres avant, je remarque au loin une boule orange, aussi grosse que l'agrume. Encore une amanite des Césars ! Parfaitement ronde, vernie, douce et bien lourde. J'explore la zone méticuleusement... Le coin en est truffé, je suis aux anges. De retour au gîte, j'expose avec fierté ma récolte !
L'amanite impératrice aime la chaleur... et jouer à cache-cache !
Ce qui rend sa récolte aussi enthousiasmante, c'est sa rareté, surtout sur la moitié nord de la France. L'amanita caesara est une espèce méridionale, mais lorsque les étés sont très chauds, avec de fortes pluies, on peut la croiser dans les régions tempérées, comme ici dans l'Allier. Même si les conditions météorologiques sont réunies, elle peut faire sa timide et rester sous terre. Certaines années, on ne la trouve pas du tout. De plus, elle ne pousse pas en colonies comme le fait la girolle ou la trompette-de-la-mort, ce qui rend sa recherche plus difficile. On déniche quelques spécimens ici et là dans l'immensité des forêts de chênes et de châtaigniers.
Une belle parmi les diablesses...
Au total et jusqu'à ce jour, nous en avons trouvé une trentaine, toutes aussi belles les unes que les autres... A travers ces photos, vous ne devriez pas vous tromper dans l'identification de l'oronge, si vous avez la chance de la croiser un jour. Son appartenance à la famille des amanites qui regroupe les mortelles phalloïde, printanière et vireuse concourt de toute évidence à sa réputation. Généralement, on alerte le néophyte au sujet de la potentielle confusion avec l'amanite-tue-mouches, espèce très toxique reconnaissable par son chapeau rouge carmin recouvert d'écailles blanches, aux lames, à l'anneau et au pied blanc. Contrairement à cette cousine aux propriétés hallucinogènes, l'amanite des Césars comporte un chapeau orange uni. Mais la réelle identification ne se fait qu'à travers ses lames, son anneau et son pied, tous les trois jaune poussin. Ainsi, il ne faut surtout pas vous fier au chapeau, qui par temps de pluie, peut être dénué d'écailles blanches et délavé au point de devenir orangé chez la tue-mouches. La légende raconte que l'Empereur Claude aurait été empoisonné dans ces circonstances par sa femme Agrippine. Autre point relatif à l'identification, sa volve, nom donné au sac qui englobe la majorité des pieds des amanites, est particulièrement épaisse. D'ailleurs, observez les photos ci-dessous et voyez comment la tête de l'oronge fend cette membrane !
Je ne sais pas vous, mais je trouve ce phénomène incroyable. Sur cette série d'images, c'est la même amanite des Césars que vous voyez. Je l'ai prise en photos sur 3 jours (une seule pluie nocturne). Sous terre se forme tout d'abord une boule blanche, de la texture d'une guimauve assez dure, puis peu à peu, le jeune champignon perce son enveloppe pour s'épanouir pleinement. J'avoue être admirative devant cet accouchement mycologique hors-norme !
Comment préparer les oronges ?
Au stade d'oeuf, lorsque la volve gaine encore le chapeau et le pied, le nettoyage est vraiment facilité. Elle protège notamment les lames très serrées, qui une fois à maturité, peuvent accueillir des insectes (je n'en ai pas vu beaucoup cela dit) ou de la terre. Retirez-la comme l'ours-ours vous le montre sur la photo. Coupez la base terreuse, puis essuyez son chapeau avec un torchon ou du papier absorbant imbibé d'eau. C'est un champignon très agréable à toucher, à travailler, sa chair est particulièrement ferme sans être cassante pour autant. Il suffit ensuite de la détailler en lamelles fines de 2 à 3 mm.
Dans l'assiette, une ode à la finesse...
Tous les amateurs d'amanites des Césars s'accordent pour limiter voire proscrire l'usage d'aromates. En effet, la saveur délicate de ce champignon se suffit à elle-même. Elle n'a pas l'arôme d'amande du cèpe, ni le goût abricoté de la girolle. Elle a son parfum à elle, que je qualifierai presque de charnel... Ne le gâchez pas avec de l'ail, du persil, du poivre noir, mais savourez-la telle quelle ou du moins avec des ingrédients neutres.
En carpaccio. Il conviendra de choisir les sujets les plus jeunes, en forme d'oeuf, pour leur fermeté et leur propreté. Après avoir bien nettoyé le champignon, on le découpe en fines tranches, on les dispose dans une assiette et on les arrose d'un trait de citron et d'huile d'olive peu fruitée (mais de qualité bien entendu). Saupoudrez d'un peu de fleur de sel pour révéler sa saveur et laissez mariner 15 minutes au frais. Au dernier moment, vous pouvez ajouter des graines germées douces comme l'alfafa (luzerne). Étant donné que je n'en avais pas, j'ai jeté mon dévolu sur une petite plante sauvage que je vous avais présentée dans la recette de ravioles au chèvre, le mouron des oiseaux. Son goût discret de noisette lui sied à merveille. Autre piste, servez ce carpaccio avec une salade de laitue ciselée finement. C'est une entrée étonnante, recommandée aux plus fins gourmets, à mi-chemin entre une gastronomie minimaliste et une nourriture céleste .
Simplement poêlée. Pour avoir pesté après les plaques électriques du gîte, je peux vous assurer que les feux de cuisson changent complètement la donne. De même que le type de poêles. De retour à la maison, j'ai cuisiné mes oronges sur le gaz et dans une poêle en fonte. Le résultat était franchement meilleur ! Avant de m'intéresser aux champignons, je ne savais pas vraiment les cuisiner. Je me demandais comment les faire à la poêle justement. On les saisit ou non ? S'ils rendent du jus (appelé "eau de végétation"), on le met de côté, on le laisse s'évaporer ou on le jette ? Alors en effet, il faut saisir les champignons à feu vif dans un peu de beurre, puis, si ils exsudent (ce n'est pas toujours le cas si ils sont secs), il faut mettre ce délicieux nectar de côté (d'après les conseils avisés de Jacques Marcon qui a bien voulu répondre personnellement à cette question qui me taraudait). Vous pouvez l'ajouter dans les soupes, les rôtis ou mieux, pour réaliser un risotto ! Imaginez des oronges poêlées, disposées au dernier moment sur le riz crémeux, sublime. Sur la photo ci-dessus, vous pouvez distinguer quelques rondelles d'échalote. J'ai voulu tester, mais je ne le referai pas, je préfère définitivement ce champignon nature...
En conserves. Je n'aurais jamais imaginé parler de conservation d'oronges... Dans mes rêves, j'en trouvais 3, 4, 5, allez au mieux 6 ! De quoi me faire une poêlée mémorable. Seulement voilà, la nature a été si généreuse que j'ai dû me résoudre à conserver l'improbable quantité récoltée. Après les avoir saisies à la poêle, j'en ai congelé une partie. A noter que l'étape de cuisson est obligatoire pour éviter de se retrouver avec des champignons spongieux et complètement imbibés d'eau. Le reste a été conditionné dans des petits bocaux au vinaigre et à l'huile (recette donnée par ma copine Patou et publiée dans mon prochain livre). Paraît-il que cette amanite se sèche très bien, mais je n'y ai pas pensé sur le coup. Si j'en retrouve d'ici là, je testerai et vous donnerai mon verdict. Pour information, il est déconseillé de consommer des champignons en grandes quantités et tous les jours (ce sont malheureusement des organismes qui accumulent beaucoup de toxines, comme les particules radioactives rejetées par l'homme...).
Comme vous pouvez vous en douter, l'amanite des Césars ne figurera pas dans l'Appel gourmand de la forêt, mais à travers cet article, j'espère que vous aurez envie de partir à sa conquête ! Depuis l'Antiquité, elle était spécifiquement réservée aux empereurs romains. De nos jours, elle bénéficie encore de cette aura si particulière, qui nous plonge dans le monde féerique des champignons.
Commentaires
magnifique cette cueillette! enfin ces cueillettes! tes photos sont superbes on s'y croirait! cette année , nous en avons trouvé quelques unes mais pour le moment pas de quoi sauter au plafond ! par contre je ne les ai jamais goûté crues ! toujours poêlées ... préparées par mon papa mycologue qui sait toujours où les trouver !
— petitegentiane25, le 23 août 2011 à 12:23en tous cas bravo !
Alors là bravo! Ils sont magnifiques! Cette année est particulièrement propice à la cueillette de champignons mais celui-là, il fallait quand même le déniché. Je crois que je n'en ai encore jamais croisé.
— Titia, le 23 août 2011 à 13:00J'adore ramasser les champignons en forêt, j'y vais en général avec ma grand-mère qui connait les espèces et les bons coins. Je rajouterai juste
que si lors d'une cueillette les "amateurs" ont un doute sur la comestibilité d'un champignon, qu'il n'hésite pas à aller le montrer à un connaisseur (un pharmacien par exemple) avant de le consommer.
Un jour, quand j'aurais plus de temps, j'irai fureter dans les bois pour découvrir tous ces beaux champignons que tu nous présentes, et élargir mes connaissances mycologiques pour l'instant réduites à la girolle et au cèpe de Bordeaux... En attendant, je déguste avec plaisir toutes ces images et savoure tes récits enchanteurs!
— christel, le 23 août 2011 à 13:54Quel billet palpitant !
— Fleur de Lin, le 23 août 2011 à 14:14Tes descriptions enthousiastes et tes sublimes photos viennent de me donner envie de m'intéresser aux champignons... Je les connais peu et les cuisine donc rarement, alors que j'en rencontre souvent en me promenant en forêt. Je vais commencer à me documenter pour apprendre à les reconnaître.
Majestueuses ces photos!
— NIC, le 23 août 2011 à 16:12Alors nous sommes donc des chanceux! car cette année, nous avons, à 2 reprises, trouvé et dégusté, simplement poêlé, ce champignon tant recherché que je trouve fort élégant par sa couleur.
Comme d'hab, tu nous fais partager ton enthousiasme à travers cet article fort intéressant!
NIC
Cher Lilo,
— marie chioca, le 23 août 2011 à 16:17c'est à mon goût le plus merveilleux de tes billets, pourtant tous si enthousiasmants!
Les photos sont toutes plus belles les unes que les autres, les informations pratiques sur ces fameux champignons nombreuses et interessantes, et quant aux conseils culinaires... C'est du grand art!
Un seul mot pour finir, merci Lilo!!!
Tu as trouvé le Graal des mycologues Lilo, bravo, quelle chance, je suis vraiment contente que ça t'arrive à toi. Comme l'écrit Marie Chioca tes photos sont de plus en plus belles et ton billet "vrai".
— Chambiers, le 23 août 2011 à 16:35Merci, il faut maintenant attendre la sortie de ton livre!!
Anne
Tiens, ça me rappelle d'excellents souvenirs pas si vieux que ça...
— Clémentine, le 23 août 2011 à 16:38Pour notre premier été en Charente, nous avons eu la joie de trouver des cèpes dans la forêt à quelques kilomètres de la ville. Quand nous étions à Sète, on se tapait 3 heures de route jusqu'en Lozère pour ça !
Mais, cerise sur le gâteau, comme toi, j'ai trouvé les toutes premières oronges de ma vie ! J'étais super excitée. Des années que je soûlais mon copain avec ça... Dès que j'ai observé la volve, j'ai été sûre que ce n'étaient pas des amanites tue-mouches, mais on est quand même allé vérifier auprès d'un pharmacien par sécurité.
On en a retrouvé plusieurs fois, cette année doit vraiment être exceptionnelle. J'en avais presque marre d'en manger à la fin... :-)
À bientôt sur tes terres !
Clémentine
magnifique !
— Céline, le 23 août 2011 à 17:15je suis désespérée de ne rien connaître aux champignons et surtout de ne pas avoir le temps de me consacrer à la mycologie. Le pire est que nous avons un petit terrain (une ancienne pépinière avec toutes sortes d'arbres différents...) qui regorge de champipi que je ne peux que regarder de façon circonspecte, à quelques exceptions près ! Un jour peut-être, mais quel gachis...
En tous cas, une fois de plus, ton billet et tes photos sont un régal (sans jeu de mot).
J avais trouvé ce fameux champignon lors de mon dernier message vendredi ! J ai également dégustée ce fameux champignon cru et cuit cet été, un délice qu on n oubli pas et me doutais bien que la passionnée que tu es allait nous en parlé ... quelles belles photos
— clem, le 23 août 2011 à 19:24Le rêve de tout amateur de champignons. Dans mon ancienne région, j'étais trop haut (1800 m d'altitude) pour en trouver. Je travaille en pharmacie, les gens nous ramenaient des paniers pleins d'amanite tue-mouches délavées et sans aucun point pensant avoir trouvé la perle rare, nous avions beaucoup de mal à les persuader du contraire. Depuis j'habite sur les Landes et par deux fois un client nous en a offert pour les goûter, manque de chance je ne travaillais pas ce jour là. Je ne désespère pas d'en trouver... Cette année a été particulièrement féconde. Les photos sont toujours aussi belles et donnent vraiment envie d'aller en chercher...
— Mamette, le 23 août 2011 à 20:46J'ai également eu la chance d'en trouver il y a quelques jours. Je partage ton avis quant à ses qualités gustatives, inégalables. Bien meilleures que les cèpes pour moi !
— untxin, le 23 août 2011 à 22:46Bravo pour ce billet magnifique !
Bonjour Lilo,
je peux deviner l'excitation & la joie que tu as pu ressentir avec cette bienheureuse découverte.
A travers ce billet, tu as su attiser la curiosité de ce petit champignon.
Je serai bien curieuse d'y goûter (comme la plupart des gens qui liront ce billet je suppose).
C'est une sorte de chasse au trésor :-)
Les 4 photos illustrant l'évolution de la pousse d'un champignon m'ont touchée : j'aime voir l'évolution de la Nature.
On dirait vraiment un oeuf... ce qui va bien avec le jaune (poussin).
Au plaisir de continuer à te lire,
— Mély du Chaudron Pastel, le 23 août 2011 à 22:50Je suis nulle en cueillette mais j'ai la chance d'avoir un Papa "qui s'y connait"...j'ai donc eu le plaisir de gouter souvent ses divins champignons sans toutefois en mesurer comme tu le souligne leur rareté...
— sophie, le 24 août 2011 à 01:36Pour cette année trop chaud dans le midi pour en trouver maintenant. Mais dans les bois de Lozère (mes parents y résident durant l'été) les récoltes ont déjà été excellentes en girolles et en cèpes!
Je note scrupuleusement tes façons de les accommoder pour une prochaine fois!
Merci Lilo de nous faire rêver encore une fois! Ton blog est une vrai bouffée d'oxygène...et les photos toujours aussi belles.
— Mimi, le 24 août 2011 à 06:11Merci pour ce reportage plein de poésie, j'ai l'impresson de "sentir" la forêt tout autour de moi...
— Nini79, le 24 août 2011 à 06:23Bravo pour cette belle découverte, et merci pour toutes ces idées.
Bises et belle journée
Quelle chance d'en avoir trouvé !!! Tes photos sont magnifiques !!! Merci du partage bisous
— Jeanne, le 24 août 2011 à 08:01je ne connais rien aux champignons mais ton enthousiasme est communicatif !
— Irisa, le 24 août 2011 à 08:33La conserve, tu comptes l'ouvrir quand en fait ? Je n'oublie pas ton invitation hein ! ;) Trop beau en tout cas, je comprends ta joie!! Bizzz!
— Anne-Sophie, le 24 août 2011 à 09:26Tu es si attentionnée envers la Nature, qu'elle te le rend bien !
Ravie que tu aies découvert et goûté ton Saint-Graal mycologique ! (et que tu l'aies partagé avec nous : avec un peu d'imagination je sentirais presque l'odeur des sous-bois envahir mon appartement...)
Pour ma part, j'aime tant les manger (j'ai le souvenir d'un restaurant où 'une divine émulsion de cèpes sur un oeuf poché m'a fait complètement défaillir...) qu'il va vraiment falloir que je commence à étudier de plus près les champignons :-)
Belle journée à toi Lilo !
— Laetitia, le 24 août 2011 à 11:26Ton papier est magnifique ainsi que les photos. Il m'est arrivé une seule fois de tomber, par le plus grand des hasards, sur la belle amanite. Le souvenir est encore bien prégnant ! Bonne journée, Françoise
— Françoise, le 24 août 2011 à 11:39Veinarde!!!je comprends ton enthousiasme étant originaire par mon papa du sud ouest: la bas on ne rigole pas avec les cèpes et si l on a de la chance d' en trouver dans son coin secret on s évertue a le faire savoir au voisinage pour l'allécher.... Alors respect!
— Cita, le 24 août 2011 à 14:38Encore un magnifique billet, je ne mange pas ou peu de champignons mais tes photos pourraient me convaincre du contraire. J'avoue tout de même que quelques trompettes de mort séchées dans un gratin, ce n'est pas mal....
— ptite momo, le 25 août 2011 à 09:09Les photos de la pousse de ce champignon sont sublimes et donnent envie d'aller dans les bois. Merci.
ton article tombe a pic car apres avoir ramassse plus de 2kgs de girolles et le double de cepes je crois bien qu'aujourdh'ui je vais decouvrir cette merveille dont tu parles..l'oroange et dont je n'ai jamais eu l'occasion de me delecetr mais je gard tes conseils
— sab, le 25 août 2011 à 09:51Superbe récolte. Hier, mon fils est rentré d'une centre aéré avec pleins de champignons. Cela ressemblait à des cèpes mais sous le chapeau, c'était marron et non vert. Du coup, comme je n'y connais absolument rien, je lui ai dit que nous devions tout jeté. Il était si malheureux ! J'ai honte de ne rien n'y connaître...
— Mag, le 25 août 2011 à 17:12Merci pour vos commentaires ! Je vois qu'il y a des connaisseurs ;)
Petitegentiane, oui, je pense que les mycologues savent forcément plus que nous où les trouver ;)
Titia, nous avons donc une passion commune ! Mais j'irais plus loin dans tes recommandations, ne ramassez que les champignons dont vous êtes certain. Si vous avez un doute, passez votre chemin. On dit souvent de les montrer aux pharmaciens, mais tous ne connaissent pas les champignons (ce qui n'est pas grave en soi). Le sujet est abordé pendant leurs études, mais seule une étude régulière et sur le terrain permet de bien les identifier.
Christel, pour l'instant, ta sélection est plutôt bonne !
Fleur de lin, bonne initiative, tu verras c'est passionnant.
Nic, tu es veinarde ! En même temps, avec un mari amateur de champignons, j'aurais été étonnée vu la saison qu'il ne trouve pas ce champignon ;)
Marie, tu vas me faire rougir ! Merci beaucoup pour tes mots :)
Anne, plus que quelques semaines à patienter !
Clémentine, j'ai hâte de te rencontrer pour parler entre autres de champignons (pour info, Clémentine est la correctrice de mon prochain livre) !
Céline, tu sais, le temps on peut le trouver assez facilement en fait. Laisse trainer des livres sur les champignons dans ta voiture, à ton chevet, sur la table basse, au WC (!), et plonge le nez dedans dès que tu peux. C'est une bonne façon d'enmagasiner de l'information sans avoir l'impression que l'on y passe du temps ;)
Clem, oui en effet, bravo :)
Mamette, en effet, ce champignon ne se trouve pas à cette altitude. Tu dois voir de jolis paniers de champignons sur ton lieu de travail !
Untxin, bravo ! Oui, comme toi, je trouve que ces amanites ont une texture bien plus agréable que les cèpes.
Mely, tout à fait, une vraie chasse aux trésors ! Et comme toi, la croissance de ce champignon m'épate vraiment.
Sophie, j'imagine que la prochaine fois que ton père en ramènera, tu les verras différement ;)
Mimi, Jeanne, Irisa, merci !
Nini79, je suis contente que cet article t'ait plongé dans l'univers merveilleux de la forêt :)
Anne-So, l'inviration tient toujours, je te recontacte par mail pour te donner mes dispos ;)
Laëtitia, la recette de ce restaurant donne envie... je suis presque tentée d'essayer un de ces quatre. Et comme les autres, je t'invite à t'intéresser aux champignons, tu ne seras pas déçue du voyage ;)
Françoise, merci. En effet, je pense que la première fois que l'on ramasse ce champignon, on doit s'en souvenir très longtemps...
Cita, tu voulais dire "oronges" au lieu de cèpes ?
Petite momo, oui les trompettes-de-la-mort, c'est pas mal non plus ;) Si j'en trouve à nouveau cette année, j'en parlerai.
Sab, cherche bien, apparemment la saison est propice à la découverte de champignon rare ;)
Mag, bonne réaction de le jeter. Les risques d'empoisonnement peuvent être très violents. Pour reconnaître un champignon, il faut également identifier son habitat... certains poussent toujours en forêt, d'autres en prairies. Idéalement, l'identification doit se faire sur le terrain ;)
Merci pour ce très joli billet très bien fait , j'aime égalementme rendre en forêt pour des ceuillettes de champignons mais je n'ai jamais osé cueillir ce champignon malgré que je sache qu'il est délicieux ...
— Sacha, le 25 août 2011 à 20:23Dernièrement j'ai fait la découverte de quelques pieds de gyroporus cyanescens ( bolet bleuissant ) à l'agréable saveur de noix en 30 ans seulement 2 cueilletes de ce champignons ...
Merci pour ce très interessant et instructif partage
Bonne fin de semaine
Sacha
Tes billets sont magnifiques surtout "into the wild"...Je voulais te signaler que dans le "ELLE" de cette semaine, dans le dossier spécial rentrée,ton dernier livre "l'appel gourmand de la forêt" est mentionné en terme élogieux...Une reconnaissance amplement méritée.
— valérie 72, le 25 août 2011 à 21:08wooow, relish your things near L'amanite des Césars - Cookery
— Casper, le 26 août 2011 à 02:57C'est aussi beau qu'intéressant ! Merci pour ce super article ! et aussi félicitation pour l'article paru dans le Elle a propos de ton prochain livre ! J'aime beaucoup la photo qui a été choisie aussi...
— Les Fées Maison, le 26 août 2011 à 10:06Bonne journée
j'ai pourtant suivi des cours de mycologie il y a quelques années pendant mes études de pharmacie mais j'avoue que ce n'était pas mon fort .... ton billet est passionnant et me donne envie de me replonger dans mes cours pour les aborder avec un oeil neuf !!! Bravo et merci !!!
— Garance, le 26 août 2011 à 11:52magnifique!! et toutes les recettes ont l'air aussi sublimes les unes que les autres.......tout donne envie..
— ansophil, le 26 août 2011 à 21:22Magnifique récolte, bravo!
A croire que ces petites boules oranges ont pointé leur nez sachant qu'elles allaient être traitées avec délicatesse, et faire envie à tous les passionnés de champignons.
Tu les méritais !
J'ai eu une fois la chance d'en rencontrer, et c'est vrai que ce genre de trouvaille, c'est juste le bonheur...
Tout ici est toujours aussi parfait, et je me réjouis de découvrir ton prochain livre.
— véro, le 27 août 2011 à 12:32Oh, je savais que les oronges étaient divines (le champignon préféré des trois filles de la famille), mais j'ignorais qu'elles étaient si rares... Moi aussi j'ai un papa qui s'y connaît, et j'ai eu la chance de vivre longtemps près des forêts ariégeoises, où l'on en croise sans doute plus souvent qu'ailleurs.
— Noisette, le 29 août 2011 à 10:54Je note soigneusement l'idée du carpaccio dans un coin de mon cerveau, pour les prochaines cueillettes. Merci Lilo pour ton enthousiasme communicatif !
C'est fou ce que je prends comme plaisir à te lire à chaque fois que je me balade par ici ! J'apprends pleins de choses !!
— Paprikas, le 29 août 2011 à 16:02Merci pour le partage de cette cueillette miraculeuse et les mots choisis qui m'ont fait vibrée !!! A ce sujet, si tu as un livre à me conseiller pour me familiariser un peu plus avec les champignons, je suis preneuse ! ...Sinon, vivement le 13 septembre ;-)
— Florence, le 31 août 2011 à 10:01Magnifique billet !
Il donne envie d'aller se promener en forêt, chercher des champignons ;)
Je ne commente pas souvent (et c'est un euphémisme), alors j'en profite pour te remercier pour les recettes et les photos que tu partages avec nous sur ce blog. Chaque billet se révèle un plaisir à lire.
— Yulwen, le 1 septembre 2011 à 18:26Sacha, il faut oser ! J'espère que cet article t'aura donné envie de franchir le pas ;) Sinon, je n'ai jamais trouvé de bolet bleuissant (un jour peut-être)...
— Lilo, le 1 septembre 2011 à 22:18Valérie, merci pour ton compliment ;) Et oui en effet, Elle a cité mon dernier livre. Je suis d'autant plus ravie qu'à la base, c'est un périodique très urbain. Comme quoi le thème de la forêt peut plaire aux citadins !
Les fées maison, Anne-Sophil, merci !
Garance, il n'y a plus qu'à ! Je suis persuadée que tu vas voir ces cours différement ;)
Véro, tu vas le recevoir prochainement :)
Noisette, en effet les oronges sont très rares dans la majeure partie de la France. Dans le sud, tu as forcément plus de chance de les rencontrer puisqu'elles aiment la chaleur.
Paprikas, j'apprends également plein de choses en rédigeant mes articles (c'est ce qui me plait le plus je crois).
Florence, il y en a plein mais voici ceux que je te conseille ;
- http://www.amazon.fr/Champignons-gu... (pour les débutants, très pédagogique, il fait partie de mes livres préférés).
- http://www.amazon.fr/Guide-champign... (la référence pour les passionnés de champignons)
- http://www.amazon.fr/guide-champign... (une autre grande référence).
Yulwen, c'est le but de donner envie de se balader en forêt ! Merci pour tes compliments sur cet article que j'ai fait avec coeur (les autres aussi, mais celui-ci en particulier) !
Salut Lilo!
Vous pouvez ramasser les oronges quand elles sont en volves avec un peu de mousse et d'humus situé autour et en surface du champignon, puis vous en tapissé le fond un petit verre ou coquetier (ça c'est pour le parfum) vous mouiller a l'eau du puits ou de pluie (pas de chlore) 1/2 cm au dessus du tapissage, ensuite vous trempez le pied (de votre champignons..!) dedans, ainsi il finira sa croissance a l’abri des insectes et autres limaces qui ont bien d'autres champignons a mangés..!
— Norbert, le 3 septembre 2011 à 09:48Bon OK c'est pas super nature nature, mais c'est quand même rageant de retrouvé cette délicieuse merveille amputée ou carrément "bouffée" dés le lendemains...ha oui au fait! l'amanite repousse quasi toujours au mêmes places quand la saison si prête elle est fidèle...alors pas trop de précisions sur l'endroit de la trouvaille...héhé!
Bonsoir Lilo, j'ai reçu hier ton nouveau livre et la première impression est bonne voire très bonne....j'ai de la lecture en perspective, merci.
— ptite momo, le 3 septembre 2011 à 22:58Ton article est une ôde à l'amour de ce magnifique champignon, je me suis laissée bercée par ta lecture et tu as le pouvoir de charmer et de convaincre à travers tes plus belles images et tes plus belles lignes... J'aime beaucoup les produits de la nature et je ne les connais pas bien malheureusement... J'ai vraiment hâte de lire ton livre car il me fait plus que de l'oeil, je viens de consulter le sommaire et ça me laisse baba... Continue de nous éblouir ainsi, c'est un tel régal!
— Le chant des cerises, le 4 septembre 2011 à 16:32l'enchanteresque ,c'est cela !
— tierri, le 6 septembre 2011 à 17:50un jour le collègue de travail nous a rammené pour le cascroute du soir des champignons .
des oronges c'est a dire que les casquète à faire frire , pour les autre collègues et pour nous deux des amanites de cécars crue en salades préparé avec une vinégrètte ; DIVIN
un gout en bouche ,mélange de avocat et de noix ,craquant sous la dent ,le repas des dieux ;
j'ai compris pourquoi l'on l'appelle l'amanite de césar ,ce jour là ,
pour que personne y touche sauf les dieux ,tèlement c'est bon .
Norbert, en effet, on m'a parlé de cette astuce ;) J'avoue ne pas y avoir pensé sur le coup, mais je testerai la prochaine fois (enfin si il y a une fois prochaine !). En tout cas, merci pour l'info sur la repousse de l'amanite des Césars. L'année prochaine, je sillonnerai les mêmes coins dans l'espoir d'en retrouver !
— Lilo, le 8 septembre 2011 à 20:18Petite momo, tu l'as déjà trouvé ? Dans quelle librairie ? Sinon en effet, il y a pas mal de lecture ;)
Le chant des cerises agitées, merci pour tes compliments :) J'espère que mon prochain livre te plaira autant !
Tierri, tu as parfaitement décrit la saveur de l'oronge ! A mi-chemin entre la noix fraîche et l'avocat, en effet.
J'ai simplement commandé ton livre directement aux éditions La Plage et je ne pensai le recevoir que la semaine prochaine mais à ma grande surprise, il est arrivé très vite et je l'ai déjà lu une fois avec une première sélection de recettes d'automne avec des châtaignes. Je pense même en recommander un second pour l'anniversaire de ma belle-maman qui aime la cuisine sauvage.
— ptite momo, le 9 septembre 2011 à 10:43De plus, pour nous aider dans nos cueillettes, nous avons depuis une année dans notre petite ville une tisanerie avec deux filles super sympas qui vont faire leurs cueillettes dans la nature et préparent leurs produits en huiles essentielles, en tisanes, en eaux florales....Elles vont certainement dans l'avenir proposer des stages pour apprendre.
Pour revenir à ton livre, il est superbe, agréable et se lit très vite. Cette fin d'été va être encore plus propice aux promenades dans les bois. Merci.
This post was mentioned on Twitter by beach bag. email me if you require further details. Thanks.
— beach bag, le 1 janvier 2012 à 18:30C'est drôle ça ! Ils sont tous simplement magnifiques ces champignons...et dire que je baillais les dimanches matins, quand on m'emmenait chercher des champignons. Mes souvenirs les plus gratifiants ont été la récolte de pieds bleus dans les marais vendéens : là il y en avait plein et on les voyait bien. Sinon, quel ennui !!!
— fanny, le 16 janvier 2012 à 21:17Autre chose si tu aimes les champignons : je viens de terminer un roman complètement déjanté, à base de champignons, écrit par Giles MILTON "Le monde selon Arnold- Une histoire d'amour et de champignons"-sept 2010 éditions Buchet-Chastel.
Très étrange, mais très inspiré par les champignons et notamment les fameuses oronges....
Petite momo, désolée de te répondre aussi tard ! Je suis ravie que mon livre te plaise ! Oui, je l'ai conçu pour qu'il soit le plus pédagogique possible pour les amateurs de cuisine sauvage, comme pour les pros. J'espère que tu testeras un maximum de recettes dès le printemps.
— Lilo, le 25 janvier 2012 à 12:54Fanny, merci pour l'info sur le livre ;) J'en ai déjà une belle collection, mais je ne manquerai pas de plonger le nez dedans !
bonjour j habite a nice j ai 33 ans,depuis petit je vais aux champignons;je connaissais a l epoque les cepes ou giroles avec mes parents en lozere le royaume du champignons;puis je me suis a nouveau interesser aux champignos il y a 4 ans .chez moi dans l arriere pays nicois ;un jour je remontais sur une butte tres difficile d acces et la je l ai vu;seule ,majestueuse ,sublime la premiere de ma vie ;l oronge l amanite des cesars le champignons rois;cette couleur interpelle elle effraie parfois les gens c es t ce qui la rend unique c 'est le seul champignons de toute sa famille qui est comestible;un ami avec moi cette annee la en a trouver 3 enormes,puis les autre annes rien jusqu a cette année;cela fait 2 semaines que j en trouve avec les bollets bronzés;ce sont 2 champignons qui poussent ensemble;parmi les plus nobles;je les trouve a tous les stades de leur evolution petite fermées ,bien ouvertes,je suis amoureux de ce champignon car au moment ou on le trouve on sait que quelque chose de rare see produit cela prend les tripes aujourd hui j en ai trouve presque 1 kg;y en a une je lui ait meme dit comme elle etait belle avant de la ramasser
— tom tom, le 19 octobre 2012 à 21:07un grand amateur de champignons
ps:tu as raison;crue huile d olive de chez nous avec un peu de sel et citrons
et la c est parti pour les girolles qui restes mon champignons preferé
Tout simplement, je te merci beaucoup!!!!!!!!!!!!
— Gugu, le 24 octobre 2012 à 15:46C est mon mari qui m'a fait decouvir ce champignon,un peu hesitante pour les manger,mais c'est délicieux,je vous parle de ça y a 5 ans,bien ce matin dans ma pelouse sous des chênes il y a eu une pousse de 6 amanites de césar c'est magnifique.Je vais vous ecouter les congeler et essayer au vinaigre,mais quelles sont les proportions huile vinaigre,j ai deja fait avec des cepes mais je les ai ratés.Puis je avoir votre recette s'il vous plait.merci
— lilou, le 26 octobre 2012 à 12:05Bonjour
Merci pour le superbe article sur les oronges .Mon père m'a fait connaitre ce champignon superbe , dés mon plus jeune age ; il y a 50 ans .... certaines années , j'étais heureux d'en trouver quelques uns , toujours au même endroit dans un bois du sud de la Drôme . La semaine dernière , j'ai découvert un bosquet voisin avec un véritable trésor ... une cinquantaine d'amanites des césars poussaient à travers des écorces décomposées de vieux pins abattus depuis longtemps . De ma vie je n'avais vu autant d'oronges en même temps et dans un espace aussi réduit . Chaque jour , il en sortait de nouvelles !
J'en ai ramassé plusieurs kilos ; et cela a fait la joie de la famille et des amis .
J'ai essayé la recette du carpaccio , c'est excellent !
Luckas
— Luckas, le 27 octobre 2012 à 17:00moi je dit que sela sert a rien
— talmi, le 11 novembre 2012 à 15:00moi je trouve celà épatant,j'ai 16 ans et je reviens d'une balade en forêt pendant laquelle nous avons fait un "ramassis" d'oronge de 2kg 600(nettoyées)! croyez-moi une belle matinée s'annonce pour mes amis,mes voisins et ma famille car à chaque fois c'est l'occasion de se retrouver pour une soirée "d'omelette gargantuesque" et d'un gout et d'une subtilité que l'on ne retrouve pas dans la saison avec d'autre champignon,
— totor, le 29 septembre 2013 à 11:44et pourtant je suis amateur de bien d'autres:trompettes de la mort,cèpes etc...
J'ai trouvé hier pour la première fois cette amananite et je l'ai ramenée chez moi pour l'étudier car je la trouvais exceptionnelle. Je ne savais pas ce que c'était. J'ai eu le confirmation de son nom par votre article et un livre. Je l'ai photographiée sous tous les angles et j'ai appelé des amis pour leur faire part de ma découverte, j'en suis très fier. Il y en avait deux autres à côté que je suis retourner chercher. Je prècise que le volve de la plus petite était très difficile à voir car enterrée, ce qui peut faire douter de l'éspèce. Deux d'entre elles avaient un morceau de volve collé sur le chapeau. Je vais les déguster pour la première fois en poêlée. Merci pour tous ces renseignements sans lesquels je serais passé à côté de ce champignon. Maintenant je le connais et je vais m'y intéresser.
— MICK, le 8 octobre 2013 à 07:47bonjour, après 17 ans sans en avoir vu j'ai eu la chance de revoir cette amanite des césars appelée aussi oronge
— did12, le 13 octobre 2013 à 16:49la première fois c'était il y à huit jours j'en ai trouvé 5 et ce matin 11 en compagnie de mon épouse qui ne connaissait pas ce champignon .. quelle magnifique découverte ce champignon est vraiment d'une beauté incroyable et c'est vraiment un bonheur de se retrouver face à lui . Son goût est inoubliable et nous presse de retourner le chercher.
Ce soir fut un grand soir .a 50 ans j'ai trouvé et mangé des oronges pour la première fois,c'est aussi bon voire meilleur que des cèpes .
— Bazz, le 13 octobre 2013 à 20:38Histoire absolument vraie et étrange.Je demeure dans le Tarn et Garonne et pas loin d'un petit bois. Je possédais hélas encore une chienne dogue d'argentin qui au demeurant avait un superbe comportement Donc au retour du petit bois quelque amanites et cèpes récoltées furent le régal du repas. Zéna la chienne vient
— DOUMENG, le 22 octobre 2013 à 11:35suivant sa mauvaise habitude quémander une gourmandise. Un morceau de cèpe lui est présenter,(refus contrarié de l'animal) je lui présente un morceau d'oronge
quelle prit aussi tôt,nous fumes tous surpris .Ma belle mère a son tour l'appelle et lui présente un bout de cèpe même refus. La suite vous la devinez, elle se prive de quelques bouts d'amanite au bénéfice de cette gourmande.
Expliquez pourquoi l'oronge et pas le cèpe cuisinés pareils dans la sauteuse.
Bonjour,
Je suis allé début Août en vacances près de Vichy. J'adore les champignons et l'été ayant été pluvieux je me suis précipité dans les forêts de Vichy.
— Olivier, le 14 août 2014 à 22:01Ma première sortie s'est révélée très fructueuse avec Girolles à gogo et cèpes.
Le lendemain j'ai croisé une dame qui me disait chercher l'Amanite des Césars mais sans succès. Muni de mon portable j'ai immédiatement fait une recherche sur ce champignon que je ne connaissais pas. Il est effectivement assez simple à reconnaître. Ce jour la j'ai trouvé des beaux cèpes mais aussi une Oronge plutôt belle. Je l'ai cuisiné le soir en suivant vos conseils et il est vrai que c'est un vrai délice. Une chaire tellement délicate et ferme à la fois !
Je suis donc retourné en foret et la je suis tombé sur un coin. Une dizaine d'oronge me tendait les bras! Je pense avoir eu de la chance mais cette découverte m'a vraiment exalter.
De mes observations voici ce qu'il ressort : l'orange aime les chênes, elle semble se développer préférentiellement dans des endroits assez lumineux, non recouvert de lierre ou ronces, en sommes des bois clair et bien aérés. Si vous en voyez une il est très probable que d'autres s'épanouissent dans un rayon de 30 m.
Voilà. Au fait je suis de Dijon, non loin du Jura réputé pour ses morilles, un autre champignon mythique et pas simple a trouver.
je suis rentré cette après midi avec 5 kg d'amanites des césars! Le pied pour moi qui tous les ans rate la pousse et arrive lorsqu'elles ont passées, moisies, pourries! Je n'ai pas fait la même erreur pour fois car j'y allais trop tard!!
— patoche, le 23 août 2014 à 01:14Un vrai bonheur et en cherchant une recette de cuisine j'ai eu la chance de trouver la tienne!
Demain nous allons déguster ce trésor pour la première fois et je te remercie d'avoir donné cette recette de cuisson toute simple mais certainement extra de par la simplicité de celle-ci!
Je voudrais savoir si tu as eu l'occasion d'en faire sécher quelques unes et comment
s'est déroulée la réhydratation.
Merci à toi et à très vite pour donner mon appréciation sur la qualité de cette merveille en bouche!!
Alors là : mon voisin m'en a ramené aujourd'hui. Superbes, c'est assez rare que l'on en découvre dans notre région. Il me semble que cette année, après ces
— J.-C., le 23 août 2015 à 17:19grandes chaleurs, sera une année à bolets et que l''annamite des césars sera au rendez-vous. Alors à nos paniers. Je précise que nous nous trouvons en
Bresse, pays du poulet et que l'année dernière les cueillettes ont été assez décevantes.
23.08.2015 - dimanche sous la pluie!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!¨¨¨¨¨¨
bonsoir; j'en ai trouvé ce matin (2) en cherchant des cèpes, crues : un délice, dommage que des chercheurs ne sachent pas les identifier et leurs mettent un coup de pied ou pire les écrasent.
— calud 17, le 6 septembre 2015 à 22:56Hélas la terre redevient sèche...
-calud 17 le 06 septembre 2015
Cette année est exceptionnelle c'est la première fois, que je ramasse autant d'oronges en une seule fois !!!!!
— Coco04, le 16 septembre 2015 à 12:31Comme j'en ai trouvé des jeunes, je vais les faire en salade.
Merci pour les idées de préparation !!!!
Coco du 04
Bonjour, j'ai trouvé des oronges hier, seriez vous d'accord pour partager la recette de votre copine Patou, bocaux a l'huile et au vinaigre car ça me paraît bin bon. Merci
— kad, le 20 septembre 2015 à 08:50Yo, j'en ai ramassé hier pour la première fois (luberon), je viens de les préparer selon votre conseil de recette et je vous dirai ce qu'il en est plus tard...souhaitez-moi bon appétit....snif je suis tout seul et je peux même pas les partager !
— zzzenmonkey, le 28 septembre 2015 à 13:33bjr a tous je viens de ramasser un champignon , de couleur orange avec pied fin blanc et les lamelles blanche aussi , mon beau pere m'a dit que c'est une oronge , la j ai dit super du coup je l'ai laver avec d'autre champignon "chanterelle" sur le site je viens de lire que l'amanite tue mouche ce delave sous la pluie et ses ecailles partent , quel risque je court si je consomme les chanterelles qui ont etait laver avec ce champignon ???
— ptitours, le 4 octobre 2015 à 00:04